Domaine des Frères Maristes **** Please note that the following texts were taken from the Répertoire du Patrimoine Culturel de Québec **** Maison de l'Hermitage Saint-JosephLa valeur patrimoniale accordée à cette maison réside notamment dans son intérêt historique, son architecture, sa valeur de position et son authenticité. Le revêtement de bardeaux de bois et le toit à deux versants droits sont des éléments typiques des maisons issues du courant régionaliste construites dans les années 1920, tout comme les lucarnes pendantes et les fenêtres à battants à petits carreaux en bois. Seules deux portes ont été remplacées par un modèle récent en métal. Un volume annexe a de plus été ajouté. La résidence conserve tout de même un bon degré d'authenticité. De plus, la position du bâtiment à proximité d'autres constructions anciennes crée un ensemble d'intérêt. Battit en 1928. Source : MRC de La Jacques-Cartier Source: Répertoire du Patrimoine Culturel de Québec Historique: Le 16 janvier 1945, les Frères Maristes achètent la plus grande partie de l'ancien domaine des Price pour la somme de 21 500 $ évalué à presque 20 fois plus. La Société de Marie, dont la communauté est issue, a été officiellement reconnue en 1836 en France. L'évangélisation et l'éducation sont les priorités de ces religieux arrivés à Sillery en 1929. Les Frères Maristes sont intéressés par le site à Saint-Gabriel-de-Valcartier afin d'y établir un scolasticat. Sous le patronage de Saint-Joseph, d'où la future appellation Ermitage Saint-Joseph. En plus du prix plus qu'alléchant, l'ancien domaine des Price répond aux besoins des frères avec ses jardins procurant tranquillité, ses espaces dédiés à la pratique de plusieurs sports ainsi que les divers bâtiments pouvant être adaptés à différentes fonctions. Le site et la maison appartenant à la famille Neilson avaient été achetés à la fin des années 1920 par John Herbert Price, issu de la quatrième génération familiale propriétaire de la Price Brothers and Company. Ce dernier y fait construire aussitôt un manoir. Avec la crise économique des années 1930, la famille perd le contrôle de la compagnie et leur prestigieuse fortune fond. John Herbert Price hypothèque le domaine dès 1935 ; seule une petite partie de la propriété, avec une résidence d'été, demeure aux mains des Price jusqu'en 1959. Avec le temps, les Frères Maristes apportent plusieurs changements et ajouts à la propriété. À titre d'exemple, la plus belle pièce du manoir est aménagée en chapelle dès leur arrivée et, en 1952, l'ancien caveau est converti en salle de récréation. En 1946-1947, ils mettent en place le cimetière et font creuser une vaste piscine. Quatre ans plus tard, les frères transforment l'ancien garage en école technique. Après la fermeture du scolasticat, les Frères n'abandonnent pas pour autant le domaine, qu'il destine désormais à l'encadrement des enfants durant la période estivale. La Colonie Champagnat, active à partir de 1960, reçoit jusqu'à 400 enfants provenant de la région de Québec au cours de la belle saison. Les frères en assument la direction et supervisent des moniteurs laïcs ; les premiers habitent la villa St-Léon alors que les seconds sont logés dans une « villa » (ancienne maison des Neilson) nouvellement construite. Le volet spirituel est également mis de l'avant auprès des jeunes grâce aux sessions apostoliques des classes de neige et des classes vertes entre 1969 et 1979. La colonie de vacances Champagnat cesse ses activités en 1981. Maison PriceLa valeur patrimoniale accordée à cette maison réside notamment dans son intérêt historique, son architecture et sa valeur de position. L'élévation sur deux étages, la toiture à deux versants droits très prononcés, les cheminées aux extrémités de la toiture, les lucarnes à croupe, sont des éléments typiques du régionalisme québécois des années 1920 et 1930. De plus, sa position à proximité d'autres constructions anciennes crée un ensemble d'intérêt. Battit en 1928. Source : MRC de La Jacques-Cartier Source: Répertoire du Patrimoine Culturel de Québec Maison NeilsonLa valeur patrimoniale accordée à cette propriété réside principalement dans son ancienneté, son architecture, son état d'authenticité et son historicité. L'élévation sur deux étages, le toit à deux versants droits à pente assez prononcée, les lucarnes à croupe, les cheminées de pierre à chacune de ses extrémités, les fenêtres à battants en bois, la porte principale à panneaux en bois, sont des éléments typiques de la maison traditionnelle québécoise construite dans la première moitié du 19e siècle. La proximité du bâtiment avec d'autres constructions anciennes crée un ensemble d'intérêt. Bâtit en 1843. Source : MRC de La Jacques-Cartier Source: Répertoire du Patrimoine Culturel de Québec Les DépendancesLa valeur patrimoniale accordée à ces dépendances réside principalement dans leur ancienneté, leur authenticité et à leur position. Tous construits probablement dans les premières décennies du 20e siècle, ces bâtiments ont pour la plupart conservé de nombreuses caractéristiques d'origine ou traditionnelles. De plus, leur emplacement sur un site avec plusieurs constructions anciennes crée un ensemble d'intérêt. Source : MRC de La Jacques-Cartier. Source: Répertoire du Patrimoine Culturel de Québec L'ÉcurieLa valeur patrimoniale accordée à ce bâtiment réside principalement dans son ancienneté, son authenticité, son historicité et son architecture. Le revêtement de bardeaux de bois et le toit à demi-croupe, ainsi que les portes de bois et le lanterneau sont des éléments typiques des écuries construites au début du 20e siècle. La proximité du bâtiment avec d'autres constructions anciennes crée un ensemble d'intérêt. Bâtit en 1928. Source : MRC de La Jacques-Cartier Source: Répertoire du Patrimoine Culturel de Québec |
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